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dc.contributor.authorNeby, Magne
dc.contributor.authorSemenchuk, Philipp
dc.contributor.authorNeby, Erica
dc.contributor.authorCooper, Elisabeth
dc.date.accessioned2022-03-07T14:27:11Z
dc.date.available2022-03-07T14:27:11Z
dc.date.issued2021-12-03
dc.description.abstractNatural regeneration after anthropogenic disturbance is slow in the tundra biome, but assisted regeneration can help speed up this process. A tracked off-road vehicle damaged a High Arctic dwarf shrub heath in Svalbard in May 2009, drastically reducing the vegetation cover, soil seed banks, and incoming seed rain. We assisted regeneration the following year using six different revegetation treatments and monitored their effects one month, and one and eight years after their application. By 2018, all treatments still had lower vegetation cover and limited species composition than the undamaged reference vegetation. The fertiliser treatment was the most effective in restoring vegetation cover (71% vegetation cover, of which 62% were bryophytes and 38% were vascular plant species). Compared to the reference plots (98% vegetation cover, of which 32% were bryophytes and 66% were vascular plant species), the composition of the disturbed vegetation was still far from regenerated to its original state nine years after the tracks were made. The slow regrowth demonstrated in this study underlines the importance of avoiding the disturbance of fragile tundra and implementing and upholding regulations that restrict or ban such disturbances.en_US
dc.description.abstractLa régénération naturelle après une perturbation anthropique est lente dans le biome de la toundra, mais la régénération assistée peut aider à accélérer le processus. Un véhicule tout-terrain à chenilles a endommagé une lande d’arbustes nains du Haut-Arctique au Svalbard en mai 2009, réduisant considérablement la couverture végétale, la banque de graines du sol et la dispersion aérienne des graines à venir. Les auteurs ont assisté la régénération l’année suivante en utilisant six traitements de revégétalisation différents et suivi leurs effets un mois, puis un et huit ans après leur application. En 2018, la couverture végétale était toujours inférieure et la composition en espèce, limitée, par rapport à la végétation de référence non endommagée, malgré les différents traitements. Le traitement à base d’engrais était le plus efficace pour restaurer le couvert végétal (71 % de couverture végétale, dont 62 % de bryophytes et 38 % d’espèces de plantes vasculaires). Par rapport aux parcelles de référence (98 % de couverture végétale, dont 32 % de bryophytes et 66 % d’espèces de plantes vasculaires), la composition de la végétation perturbée était encore loin d’être régénérée à son état d’origine, neuf ans après que les traces ont été laissées par les chenilles. La lenteur de la régénération démontrée dans cette étude souligne l’importance d’éviter de perturber la toundra fragile, et de mettre en œuvre et de faire respecter les réglementations limitant ou interdisant ces perturbations.en_US
dc.identifier.citationNeby, Semenchuk, Neby, Cooper. Comparison of methods for revegetation of vehicle tracks in High Arctic tundra on Svalbard.. Arctic Science. 2021en_US
dc.identifier.cristinIDFRIDAID 1981594
dc.identifier.doi10.1139/AS-2021-0016
dc.identifier.issn2368-7460
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10037/24310
dc.language.isoengen_US
dc.publisherCanadian Science Publishingen_US
dc.relation.journalArctic Science
dc.rights.accessRightsopenAccessen_US
dc.rights.holderCopyright 2021 The Author(s)en_US
dc.titleComparison of methods for revegetation of vehicle tracks in High Arctic tundra on Svalbard.en_US
dc.type.versionpublishedVersionen_US
dc.typeJournal articleen_US
dc.typeTidsskriftartikkelen_US
dc.typePeer revieweden_US


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